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- politique
pourquoi je soutiens Laurent WAUQUIEZ
Notre famille politique va se choisir son président par un vote de ses adhérents.
C’est démocratique et c’est tant mieux.
un parti politique sert à réfléchir, travailler, porter des idées, préparer l’avenir, et quand il s’agit d une des 2 ou 3 formations capables de le faire, à se préparer à gouverner.
Je peux comprendre l’aversion de certains à la politique et à la démocratie, mais c’est le moins pire des systèmes qui ait été imaginé pour faire fonctionner un pays, une région ou une ville.
Personne n’est obligé d’adhérer à un parti politique et ceux-ci rassemblent toujours diverses sensibilités et c’est heureux. Ils rassemblent aussi diverses personnalités, les militants, les intellectuels, les tacticiens, les besogneux, les ambitieux, et bien sur les "constructeurs" et les "destructeurs".
N’ayant aucune responsabilité dans le fonctionnement régional ou national des LR, je suis, reste et resterai un homme libre, fidèle à mes valeurs et à celles qui fondent mon engagement libéral social et européen. Ce sont les miennes et je les revendique. Certains pensent même qu’il s’agit des valeurs centristes et pour d’autres c’est même un "gros mot ».
J’ai toujours préféré les actes aux grandes déclarations.
Avec la même énergie que celle qui a consisté à faire passer Alain Juppé pour un homme de gauche, pour mieux l’enfermer et bien sur lui nuire, la petite société politique et médiatique se complait à enfermer Laurent Wauquiez comme un homme de l’ultra droite quand ce n’est pas de l’extrême droite.
Paul Eluard disait « il n’y a pas de hasard, il y a des rencontres »
J’ai le plaisir de le connaître depuis 10 ans et de faire partie de la majorité de la droite et du centre qui gère la région depuis 1 an et demi.
Il suffit de voir avec quelle violence et quelle énergie l’extrême droite combat notre action et le président de l’assemblée régionale pour bien comprendre que la frontière entre la droite et le FN est réelle. Il n’y a pas de doute là dessus, même s’il faut bien reconnaitre que certains électeurs et sans doute d’autres dirigeants nationaux pourraient espérer que la digue ne cède. En fait avec Laurent Wauquiez, il n’en sera rien car ce serait tout simplement mortifère.
Sur le fond de l’action, car la politique se se résume pas aux plateaux télévisés et aux petites phrases.
Il se trouve que nous mettons à la fois en oeuvre les intentions et promesses de campagne et que nous le faisons dans un grand rassemblement des diverses sensibilités.
C’est comme cela que nous avons gagné et C’est pour cela que nous réussissons depuis 18 mois:
baisser les dépenses de fonctionnement, augmenter l’investissement, baisser la dette, relancer le soutien au numérique , aux territoires, aux transports , au soutien à l’ économie, assumer nos responsabilités en matière de formation professionnelle, d’environnement, de soutiens aux petites communes, au sport amateur comme du haut niveau, au handicap, etc…
Et si une action politique qui dit ce qu’elle fait et fait ce qu’elle dit, était simplement désormais une des caractéristiques politique de droite moderne ouverte ancrée dans son temps et soucieuse de rendre des comptes ?
Quel Cap pour demain ?
pour les 5 à 10 ans qui viennent, la première question est de définir ce que l’on veut pour la France d’abord, d’en préciser les objectifs et les moyens et d’essayer de convaincre par l’action politique ensuite, que c’est le bon chemin à suivre ?
Je reste persuadé, parce qu’il a l’énergie, l’envie et l’expérience, que Laurent Wauquiez est le mieux à même de faire vivre les sensibilités diverses de la droite et du centre, en rebâtissant une famille politique ouverte européenne et humaniste, mais aussi fière de la France et des français.
Il est suffisamment libre et transgressif pour mettre certains sujets sur la table
Il est suffisamment ancré dans les réalités de la vie et de la France, pour rester concret.
il est assez lucide de la nécessité de rassembler et rassembler encore.
la nécessaire ouverture commencée par le signal que constitue la présence de Virginie Calmels au Mézenc est un bon signe pour ceux qui savent que l’on gagne toujours en rassemblant et en additionnant les talents ( comme en sport) et même les aiguillons car ils obligent autant qu’ils contraignent.
Faire des choix, les expliquer les défendre et les assumer, c’est aussi cela que les français attendent.
Cette étape est décisive.
Si elle est ratée ou si par tactique ou conséquence, ce parti politique se coupera en 2 ou en 3. Ce sera un long chemin dans l’opposition voire la disparition d’une partie de l’échiquier politique, et un choix mortifère pour une alternance, un jour, entre l’extreme droite ou l’extreme gauche.
En attendant vive la France, car personne n’a intérêt à son affaiblissement.
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